le nouveau pulvérisateur face par face Wanner

25 juillet 2013

La Rédaction

Traiter toutes les faces de rangs d’un vignoble est un gage de qualité en matière de pulvérisation et de respect de l’environnement. Si ce discours fait aujourd’hui l’unanimité sur le plan technique, il n’est malheureusement pas toujours facile à mettre en œuvre. Joël Renaud, un jeune viticulteur de Migron adepte de cette technique de traitement, utilise depuis cette année un nouvel équipement fabriqué en Allemagne. L’appareil de la société Wanner présente des caractéristiques de fiabilité de fabrication plus adaptées aux utilisations intensives.

p27.jpgLe principe de la pulvérisation en face par face est reconnu comme étant le moyen le plus performant de cibler le flux de pulvérisation sur la végétation quand les appareils sont bien réglés. Or, dans des propriétés de surfaces importantes, la couverture de toutes les faces de rangs nécessite des moyens technologiques performants et fiables, surtout quand on raisonne finement le positionnement de chaque intervention. Les constructeurs ont répondu à cette attente en proposant des pulvérisateurs pneumatiques performants équipés de rampes permettant de traiter 4 à 6 faces de rangs en seul passage. Plus les écartements de vignes augmentent, plus les rampes deviennent complexes et aussi, malheureusement, fragiles. Les articulations des pivots de repliage, les bras de rampes, les pendillards, les systèmes d’extension… vieillissent mal. Un certain nombre de responsables d’exploitation très intéressés par ces équipements décident d’opter pour d’autres principes d’appareils mécaniquement plus fiables mais ayant une efficacité de pulvérisation moindre. Joël Renaud fait partie de ces viticulteurs qui sont des adeptes des traitements face par face et des contraintes qui vont avec. Le manque de fiabilité de son pulvérisateur pneumatique l’a amené à rechercher un équipement ayant une qualité de fabrication bien supérieure, et après de nombreux essais il semble avoir trouvé un pulvérisateur face par face « efficace ».

Avoir un pulvérisateur opérationnel est une priorité

Joël Renaud fait partie de cette nouvelle génération de viticulteurs qui abordent la réalisation des traitements avec à la fois de la technicité et de la sagesse : « Préparer la bouillie et traiter représentent pour moi des travaux indispensables pour assurer la productivité du vignoble, mais je suis pleinement conscient que la mise en œuvre des produits doit être abordée en prenant un maximum de précautions. Sur notre propriété d’une soixantaine d’hectares répartis sur trois sites, la réalisation d’un traitement en pleine saison mobilisait jusqu’à l’année dernière notre appareil pendant une journée et demie quand tout se passait bien. Il me paraît indispensable de se protéger le mieux possible au moment de la préparation de la bouillie et ensuite pendant les traitements. Le remplissage d’un appareil de 1 500 à 2 000 l est toujours une phase de travail où le chauffeur est en contact direct avec les produits. Utiliser des gants, une combinaison de travail adaptée et un masque au moment de l’incorporation des produits est vraiment indispensable. Les cabines des tracteurs récents sont équipées de systèmes de filtration performants si l’entretien des cartouches est effectué régulièrement. Par contre, lorsqu’un incident se produit sur le pulvérisateur dans les vignes, là on se met littéralement les mains dans la bouillie. Avec mon pulvérisateur précédent, un pneumatique 4 faces de rangs, à chaque sortie j’étais confronté à des incidents mécaniques liés à la fragilité des montages. Une crevaison, la rupture d’un tuyau, l’éclatement d’un flexible hydraulique, un bras de rampe cassé, une électrovanne en panne… étaient des pannes fréquentes même dès la première année d’utilisation. Les révisions annuelles sérieuses durant l’hiver n’empêchaient pas la casse. Au bout de 5 campagnes d’utilisation, j’en suis arrivé à la conclusion que ce pulvérisateur n’était plus opérationnel. »

La notion du pulvérisateur « efficace » : qualité de pulvérisation + qualité de fabrication

Au cours de la campagne 2012, la fréquence des interventions pour contrôler le mildiou a amené J. Renaud à remettre en cause l’organisation des traitements. Le pulvérisateur pneumatique 4 faces de rangs extériorisait de réelles faiblesses à chaque sortie. Le principe technologique des traitements face par face est adapté aux exigences de raisonnement de la protection dans la mesure où l’outil est opérationnel. Dès qu’un incident mécanique se produit, la stratégie de lutte est fortement fragilisée. La réflexion de ce viticulteur atteste à la fois de son intérêt vis-à-vis des démarches de réduction d’utilisation des intrants et aussi de son exigence de disposer d’équipements plus fiables pour atteindre cet objectif. Il en est arrivé à la conclusion que la recherche d’un équipement de pulvérisation performant et surtout solide sur le plan de la fabrication était une priorité : « J’ai regardé de près toutes les fabrications des principaux constructeurs en ayant le double objectif de rechercher une pulvérisation de qualité et un appareil fiable sur le plan mécanique. Les systèmes de panneaux récupérateurs ventilés m’ont intéressé mais le poids de ces éléments et leur conception souvent sophistiqués me font craindre un mauvais vieillissement. Les traitements en face par face représentent un gage de qualité en matière de capacité de pénétration dans la végétation et de qualité de la pulvérisation. Les nouveaux enjeux de réduction d’utilisation des intrants et le souci d’être bien protégé durant les traitements sont des éléments indirects que les constructeurs doivent désormais intégrer dans les réflexions technologiques de conception des pulvérisateurs. Pour moi, la notion d’efficacité d’un pulvérisateur englobe à la fois trois éléments indissociables : la qualité de pulvérisation, la fiabilité de conception du matériel et la simplicité d’utilisation. La qualité des composants principaux et des annexes technologiques (électrovannes, commandes électriques, régulation de débit, flexibles hydrauliques, tuyauterie, crémaillères de rampes…) ne doit pas être sous-estimée car les appareils fonctionnent 10 à 12 heures non-stop dans un environnement humide et fortement corrosif. »

Une fabrication beaucoup plus fiable

p28.jpgAu cours de l’été 2012, J. Renaud a fait part de ses attentes aux concessionnaires locaux, aux techniciens en machinisme et à de nombreux collègues. Il a vu fonctionner beaucoup de pulvérisateurs dont les performances lui semblaient intéressantes, mais leur fabrication n’était pas fondamentalement différente de son appareil. Finalement, le hasard d’une discussion avec un ami viticulteur dans la région a été le déclic de sa recherche du pulvérisateur efficace : « Le hasard d’une discussion avec un ami viticulteur (qui durant ses vacances avait vu fonctionner un pulvérisateur de marque allemande) m’a permis de découvrir une qualité de fabrication que je n’avais jamais vu en vigne. La simplicité et la conception robuste du pulvérisateur Wanner m’ont tout de suite plu même si l’outil n’était pas adapté aux exigences du vignoble. L’importateur, la société Terreco (1) installée dans la région de Brive, m’a proposé de venir faire une démonstration dans mon vignoble au mois d’août dernier. Le modèle présenté était un pulvérisateur à jet porté équipé d’une rampe face par face à 12 diffuseurs pour deux rangs complets. Même si le gabarit de cet appareil n’était pas adapté aux structures de vignes de 3 à 3,50 m d’écartement, la structure générale de la rampe, les systèmes hydrauliques, le réseau des tubulures de bouillie… m’ont beaucoup surpris. Par exemple, les pendillards étaient montés sur des ressorts souples qui en cas de choc s’effacent d’avant en arrière et de droite à gauche. Les diffuseurs de pulvérisation et les porte-buses sont protégés par des supports galvanisés solides. Le dialogue avec l’interlocuteur commercial s’est établi sur des bases sérieuses, mettant en avant la capacité du constructeur allemand à répondre à toutes les nouvelles attentes. Ce discours m’a paru presque inespéré en comparaison de ceux des grands constructeurs français qui cherchent surtout à standardiser leurs fabrications. L’importateur m’a confirmé que la société Wanner avait déjà développé des appareils sur mesure à la demande de certains arboriculteurs français. Pourquoi n’aurait-il pas la même démarche au niveau de la vigne ? Cette idée m’a beaucoup plu et il ne restait plus qu’à concrétiser ces paroles. » Jean-Louis Giraux, le technicien en machinisme régional (2) à l’origine de l’organisation de la démonstration chez J. Renaud, a lui aussi été surpris par la qualité des composants utilisés pour la fabrication des pulvérisateurs Wanner.

Le choix de concevoir un pulvérisateur à jet porté sur mesure

La discussion « bout de vigne » s’est transformée en un échange de fond pour concevoir un pulvérisateur « efficace » dans des vignes larges et hautes. L’importateur, la société Terreco, a pris contact avec la société Wanner qui a décidé de s’impliquer dans le développement d’un pulvérisateur spécifique pour les vignes hautes et larges charentaises. J. Renaud a mis par écrit tous les éléments de conception lui paraissant être comme essentiels. La visite à l’usine Wanner au début de l’hiver dernier a été le déclencheur du projet de la conception d’un nouveau modèle tenant compte d’attentes spécifiques. J. Renaud a été surpris du sens de l’écoute de ses interlocuteurs allemands et surtout de leur volonté de se donner les moyens de développer un nouveau modèle : « Après les vendanges 2012, nous nous sommes rendus à l’usine de la société Wanner près du lac de Constance. Ce déplacement n’a pas été une visite touristique mais un véritable séminaire de travail. Nous avons longuement échangé avec l’ingénieur chargé du développement des pulvérisateurs sur des points très précis. La conception des rampes, l’agencement des pendillards, l’extension et le repliage des modules face par face, leurs réglages d’écartement intérieur, le montage des essieux, le choix des pneumatiques, les besoins en équipements de contrôles de pulvérisation… Le fruit de cette rencontre a débouché sur un plan détaillé de mon futur pulvérisateur qui nous a été transmis par Internet. Quelques idées complémentaires ont pu d’ailleurs être rajoutées sur ce premier projet. J’avais en face de moi des interlocuteurs qui avaient l’envie de développer un produit répondant à mes attentes et à celles des autres viticulteurs de la région. Cette capacité à construire des appareils en petite série en ayant une vision industrielle des fabrications est à mon sens un élément très important à souligner. »

La société Wanner est structurée autour de deux activités principales, la fabrication de gammes de pulvérisateurs arboricoles et viticoles (60 % du chiffre d’affaires) et un pôle de mécanique de précision assurant la fabrication de pièces usinées. Cette PME d’une cinquantaine de personnes dispose d’un bureau d’étude structuré qui développe en interne tous ses projets. L’activité pulvérisation qui existe depuis une quarantaine d’années connaît une croissance régulière (des ventes de 400 à 500 pulvérisateurs par an).

Une turbine radiale spécifique, conçue et fabriquée en interne

p29b.jpgA la fin du mois de mars dernier, les deux pulvérisateurs Wanner équipés pour « vignes hautes et larges de Charentes ont été livrés à Migron. Ce sont des pulvériseurs à jets portés équipés de turbines spécifiques, conçues et fabriquées par la société allemande. Il ne s’agit pas de turbines hélicoïdales classiques montées habituellement sur les pulvérisateurs aéroconvections, mais de ventilateurs de type radial. La turbine possède un gabarit plus volumineux, une aspiration centrale par l’arrière et une hélice de conception bien différente avec des pales ayant une forme en aube novatrice. Les ingénieurs ont conduit des études pour optimiser le positionnement et l’espacement des aubes afin de trouver le meilleur compromis de productivité d’air, de puissance absorbée et de faibles nuisances sonores. Le principe de fonctionnement de la soufflerie privilégie la production de volumes d’air importants et non pas des vitesses d’air élevées. Les turbines ont été mises au point depuis maintenant une dizaine d’années et les retours d’expérience en terme de fiabilité sont bons. Le pulvérisateur de J. Renaud est équipé d’une turbine radiale ayant un débit d’air de 35 500 m3/heure en petite vitesse et de 42 000 m3/heure en grande vitesse (avec une rotation de la prise de force à 540 tr/mn). La production d’air est ensuite canalisée par un caisson supérieur où des répartiteurs permettent d’équilibrer les flux dans 8 gaines souples.

Des diffuseurs d’air spécifiques qui créent un effet venturi

p29a.jpgLa rampe est équipée de 4 diffuseurs en PVC par face de rang dont la fonction est uniquement de diriger l’air vers le centre des rangs. Deux buses avec anti-gouttes sont positionnées à l’extérieur et à proximité (de façon parallèle) des diffuseurs. Le flux d’air vient littéralement porter la bouillie vers la végétation. La volonté du constructeur est de créer au milieu de la rampe face par face un écran d’air puissant et homogène qui ait la capacité de résister aux effets de dérive du vent. La forme des diffuseurs en PVC a fait l’objet de recherches pour renforcer l’homogénéité du flux d’air. La forme pincée de la sortie des diffuseurs crée un effet de venturi propice au renforcement de la puissance du flux d’air. La tête des diffuseurs est articulée, ce qui permet de les orienter facilement d’avant en arrière. La présence de deux buses au niveau de chaque diffuseur d’air permet d’assurer une excellente répartition et surtout de bien cibler la pulvérisation au fur et à mesure du développement de la végétation. Les porte-jets peuvent être orientés latéralement dans un angle comparable ou supérieur à celui des diffuseurs. Les gaines d’air, les diffuseurs et les porte-buses sont protégés des chocs par un tube vertical de gros diamètre sur lequel sont fixées les tôles de protection galvanisées (à l’avant de chaque diffuseur). En cas d’incidents engendrant la casse d’un diffuseur, le remplacement de cet élément est très abordable (prix d’un diffuseur : 20 à 25 € ht).

Une rampe arrière avec des poutrelles télescopiques

p30b.jpgLa principale innovation sur ce pulvérisateur se situe au niveau de la rampe de pulvérisation. L’ouverture et la fermeture de la rampe de pulvérisation ne sont pas effectuées grâce à un système de potences repliables sur le côté du pulvérisateur. Les pivots de repliage représentent des points de fragilité surtout pendant les déplacements routiers. La société Wanner a imaginé de positionner la rampe à l’arrière du pulvérisateur pour éliminer tout ce système de pivot repliable. La rampe s’ouvre et se déplie grâce à un système de poutrelles ayant un principe de coulissement télescopique. Des tubes carrés de gros diamètre s’emboîtent les uns dans les autres en utilisant le principe des bras de chargeurs télescopiques. Deux vérins actionnent deux crémaillères qui assurent de manière synchronisée et précise l’ouverture et la fermeture des deux côtés de la rampe. La présence à l’avant de la rampe d’une réglette colorisée permet au chauffeur de disposer de repères faciles à visualiser pour s’adapter aux différentes largeurs de vignes. Les pièces d’emboîtement des supports de rampes sont usinées avec une grande précision dans les ateliers de l’entreprise. Les poutrelles sont équipées de graisseurs intégrés qui facilitent le coulissement et l’entretien de la rampe au fil du temps. L’écartement des pendillards entre chaque rang se règle automatiquement pour s’adapter aux différentes épaisseurs de végétation des rangs (vignes palissées non relevées et arcures hautes). Les extrémités supérieures des pendillards sont reliées aux poutrelles par de gros ressorts souples qui, en cas de chocs, procurent des capacités d’effacement d’avant en arrière et de droite à gauche. L’ensemble des commandes de la rampe fonctionne en utilisant l’hydraulique du tracteur. Lors des déplacements routiers, la rampe repliée à l’arrière du pulvérisateur a une largeur totale de 2,10 m. Les possibilités d’extension permettent de s’adapter à des écartements de vignes allant jusqu’à 3,50 m.

Des roues gonflées à la mousse pour ne plus crever

p30a.jpgLa cuve en fibre de verre moulée d’une capacité de 2 000 l dispose de deux orifices de remplissage, ce qui facilite l’incorporation des produits. Le rinçage de la rampe de pulvérisation peut être effectué avec de l’eau propre en utilisant directement la réserve de la cuve de rinçage. Le pulvérisateur est équipé en série d’une pompe Commet IDS (tout le corps en bronze) dont les performances sont reconnues. L’agitation de la bouillie est assurée par des hydrojets et une rampe perforée en PVC implantée sur toute la longueur du fond de la cuve. Le châssis en acier galvanisé peut être équipé d’un essieu à boggies ou d’un essieu traditionnel avec deux roues à basse pression. Pour éviter les problèmes de crevaison, les pneus ont été gonflés à la mousse. J. Renaud a souhaité équiper l’appareil d’un système de contrôle de fonctionnement peu sophistiqué pour des raisons de fiabilité. Un capteur magnétique de vitesse d’avancement installé sur les roues du pulvérisateur permet au chauffeur de visualiser en permanence la vitesse d’avancement, la pression du circuit de bouillie et les débits/hectare appliqués. Les corrections de débits sont effectuées en modifiant les niveaux de pression. Le constructeur propose des équipements de contrôle de la pulvérisation en utilisant une gestion électronique des débits de types DPA et DPAE.

6 traitements réalisés sans aucun incident

p30c.jpgLes deux pulvérisateurs Wanner équipés de la rampe en face par face Charente fonctionnent maintenant depuis plus deux mois. 6 traitements représentant l’équivalent de 400 hectares ont été réalisés à des stades de développement de la vigne très différents et dans des conditions de portance de sol difficiles (la moitié du vignoble est implantée dans le pays bas). J. Renaud considère que le pulvérisateur est vraiment un outil efficace et simple à utiliser : « Mon salarié et moi avons pris en main facilement le matériel en raison principalement de la simplicité du fonctionnement de la rampe. Le système des poutrelles coulissantes est vraiment astucieux et les commandes d’ouverture et de fermeture s’avèrent précises et faciles à utiliser. La qualité de la pulvérisation me paraît très bonne même quand il y a un peu de vent. La capacité de pénétration du flux d’air au sein de la végétation est assez surprenante et je suis convaincu que nous allons pouvoir moduler les doses de produits sans prendre de risques inconsidérés. La turbine radiale s’avère à la fois performante et moins demandeuse de puissance que celle du pulvérisateur pneumatique. En moyenne, la consommation de gas-oil du tracteur a baissé de plus d’un litre/h. L’appareil est tracté par un tracteur de 90 cv qui n’est pas utilisé à pleine puissance, sauf bien sûr quand les conditions de portance des sols sont mauvaises. Les traitements sont réalisés à une vitesse de 8 km/h et à 10 bars de pression. Lors de la dernière application avec l’ensemble des buses ouvertes, le volume de bouillie appliqué à l’hectare a été de 130 l. La qualité des matériaux mis en œuvre pour la fabrication me paraît justifier le niveau d’investissement de 34 000 € ht pour un modèle de 2 000 l. Si j’avais opté pour l’acquisition d’un pneumatique deux rangs complets de même capacité, l’investissement aurait été du même ordre, voire supérieur et j’aurais sûrement déjà eu des ennuis. Je pense réellement que le matériel Wanner va beaucoup mieux vieillir dans le temps. »

(1) Terreco sarl Euroleix, 1 rue Jean-Baptiste-Bardinal, 19240 Varetz – Tél. 05 55 85 05 94.
(2) Jean-Louis Giraux, 19 impasse des Aubépines, 17610 Chaniers – Tél. 06 75 99 18 79.

 

 

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