À l’instar du syndicat des producteurs et de promotion des vins de pays charentais, de l’UGVC ou du syndicat des producteurs de pineau des Charentes, le BNIC a tablé sur 15% de dégâts, « très diffus au sein de la région ».
« Ces épisodes de gel se sont produits, pour les premiers d’entre eux, à un stade peu avancé de la végétation pour l’Ugni blanc, ce qui a pu limiter les dégâts constatés. Sur les autres cépages Cognac, minoritaires et plus précoces, les dégâts peuvent être plus importants. » L’interprofession a bien précisé qu’elle ne comptabilisait, ici, que les cépages pouvant entrer dans la production de l’eau-de-vie de Cognac.

Parallèlement à cela, le BNIC a présenté son nouvel outil « gel/grêle », afin de faciliter et mutualiser les comptes et décomptes des parcelles touchées.
« L’outil « gel/grêle » sera accessible après chaque aléa pour une durée définie en fonction de l’incident climatique. Il suffira de se connecter à son espace pro.cognac.fr et se rendre sur la page « Mon exploitation », puis saisir les surfaces concernées par niveaux de dégâts », précise le communiqué de l’interprofession.
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