En fait, la vraie problématique de tout cela, c’est de savoir si les outils juridiques, fiscaux et sociaux permettent, au moment de leur transmission, de sauvegarder les exploitations agricoles en général, et viti-vinicole en particulier. Pour cela, il faut s’atteler à une réussite juridique (voir si et comment le cédant peut transmettre au cessionnaire) doublée d’une réussite économique (le cessionnaire dispose-t-il des moyens d’acquérir l’entreprise ?).
La transmission d’une exploitation, encore plus dans un cadre familial, est « un centre d’intérêts, traversé d’aspirations contradictoires » !